A. Puig – La race de vipères et le rameau d’olivier

( Pierre Baruteil )

Le 22 octobre 1895, à l’instigation de ses amis les Antisémites d’Algérie, M. Edouard Drumont ouvrit dans la Libre Parole un concours dont voici le sujet :
« Des moyens pratiques d’arriver à l’anéantissement de la puissance juive en France, le danger juif étant considéré au point de vue de la race et non au point de vue religieux. »

Avant de répondre à la question du concours, l’auteur a voulu s’assurer de l’identité du prévenu, ainsi que de la réalité et de la gravité de ses crimes.
À cette fin, remontant jusqu’aux origines des Juifs, il les suit dans leur évolution, dans leurs vicissitudes et leurs différents états sociaux, et dans leurs pérégrinations sur tous les points de l’univers où la main de Dieu les a rejetés jusqu’à nos jours.
Il les étudie : dans leur corps, aux points de vue ethnologique, physiologique, etc ; dans leur âme : par leurs aptitudes intellectuelles et morales ; d’après le Talmud toujours en vigueur, il fait l’analyse et la synthèse psychologique de leur esprit, il en donne la définition, en développe les conséquences contre les non-Juifs ; il en montre le but, (lequel n’est autre que la domination universelle assise sur la négation de tous nos droits) non moins que les moyens de l’atteindre, et l’état actuel de la puissance juive dans le monde entier ; enfin après avoir réfuté les erreurs juives, tant spéculatives que pratiques, il indique les moyens d’en conjurer les effets désastreux, ou d’arriver à l’anéantissement de la puissance juive en France, le danger juif étant considéré au point de vue de la race et non au point de vue religieux.

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ISBN : 9781648580260
Format : Livre de poche
Nombre de pages : 314
Dimensions : 152 x 229 x 18 mm

Flavien Brenier – Les juifs et le Talmud

Aucun problème ethnique ou religieux ne s’est posé, à travers l’Histoire, d’une manière plus générale, plus continue et plus obsédante que le problème Juif. Aussi loin qu’on se reporte depuis que les Juifs sont campés au milieu des nations - et cette manière de vivre est bien antérieure pour eux à l’époque où les armées romaines leur infligèrent ce qu’on appela « la dispersion » - on trouve les Juifs en lutte avec tous les peuples qui les ont reçus dans leur sein. Les convulsions de cet éternel conflit emplissent une partie de l’Antiquité et tout le Moyen-Âge. Dans les temps modernes, si la lutte entre l’élément juif et les éléments chrétiens et musulmans revêt un caractère d’acuité moindre, c’est qu’Israël a eu l’habileté de cacher son agression, jadis presque toujours directe, sous mille masques habilement fabriqués. Mais qu’on soulève au hasard l’un de ces masques, et, sous le péril qui menace chaque peuple dans sa sécurité nationale, dans sa prospérité matérielle, dans sa liberté religieuse ou dans sa paix sociale, presque toujours on trouvera le Juif.

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ISBN : 9781648582257
Format : Livre de poche
Nombre de pages : 142
Dimensions : 152 x 229 x 8 mm

André Chaumet – Juifs et américains Rois de l’Afrique du Nord

Les Etats-Unis seront le centre du judaïsme dans un avenir proche. L’Amérique nous offre une heureuse combinaison de circonstances multiples et si favorables que nous n’en avons jamais rencontré de pareilles dans l’histoire de notre dispersion.

Dr Elias Salomon,
New-York, 1921.

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ISBN : 9781648580871
Format : Livre de poche
Nombre de pages : 50
Dimensions : 152 x 229 x 3 mm

Herman de Vries de Heekelingen – Les Protocoles des Sages de Sion constituent-ils un faux ?

Dès sa naissance, le christianisme a trouvé devant lui la force des ténèbres. Dans le cours des âges, on rencontre partout cette force organisée de l’Anti-Eglise. On la voit à l’œuvre lorsqu’elle pousse les païens de l’empire romain à tuer les chrétiens; on la voit faire des efforts désespérée pour détruire le christianisme par lui-même en suscitant le gnosticisme, l’arianisme, le manichéisme et tant d’autres sectes. Même pendant le moyen âge, alors que la vie politique et sociale était profondément chrétienne, on la voit manœuvrer. James Darmesteter, un savant juif, nous apprend que, même à, cette époque, le Juif était : « le docteur de l’incrédule … Il était à l’oeuvre dans l’immense atelier de blasphème du grand empereur Frédéric et des princes de Souabe et d’Aragon. C’est lui qui forge tout cet arsenal meurtrier de raisonnement et d’ironie qu’il léguera aux sceptiques de la Renaissance, aux libertins du grand siècle; et tel sarcasme de Voltaire n’est que le dernier et retentissant écho d’un mot murmuré, six siècles auparavant, dans l’ombre du ghetto, et plus tôt encore, du temps de Celse et d’Origène, au berceau même de la religion du Christ, dans les Contre‑Evangiles du Ier et du IIme siècles ».

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ISBN : 9781637907924
Format : Livre de poche
Nombre de pages : 38
Dimensions : 140 x 216 x 2 mm

Marcus Eli Ravage – A real case against the jews

One of them points out the full depth of their guilt

Written by a Jewish author and originally published in The Century Magazine in January 1928. This article asserts that if Whites understood the depths to which Jews control our countries and their institutions of power and the way in which they wield that power in an effort to destroy our interests, we would rise-up and eradicate them immediately.

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ISBN : 9781645509301
Format : Paperback
42 Pages
Dimensions : 127 x 203 x 3 mm

Karl Bergmeister – Le plan juif de conspiration mondiale

 Les Protocoles des Sages de Sion devant la Chambre correctionnelle de Berne

Le procès relatif à l’authenticité des Protocoles de Sion, ou des Sages de Sion, qui s’est déroulé à Berne de 1933 à 1935, a fourni aux écrivains juifs et amis des Juifs l’occasion tant désirée de pouvoir enfin claironner de par le monde qu’un magistrat de Berne a rendu en toute objectivité un jugement déclarant que les Protocoles sont un faux.
C’est ce qu’ont écrit : le Juif Alexander Stein, dans son livre « Adolf Hitler, Elève des Sages de Sion » (Graphia‑Verlag, Carlsbad 1936) ; le juif Iwan Heilbut, dans « Les Calomniateurs publics. – Les Protocoles des Sages de Sion et leur application à la politique contemporaine » (Europa‑Verlag, Zurich 1937) ; Mme Irène Harand, écrivain au service des Juifs dans son ouvrage : « Son Combat. Réponse à Hitler » (Vienne 1936) ; et le franc-maçon, marié à une juive, Comte R. N. Coudenhove-Kalergi dans « La Haine de Juifs à notre époque ». (Paneuropa-Verlag, Vienne et Zurich 1935.)
Tous ces écrivains gardent intentionnellement le silence sur le livre du Dr. Stephan Vász, – publié en 1935, peu de temps après le procès – intitulé « Das Berner Fehlurteil über die Protokolle der Weisen von Zion. » (« Le mauvais jugement sur les Protocoles des Sages de Sion ». – U. Bodung-Verlag, Erfurt), livre dans lequel l’auteur, s’inspirant des actes du dossier de l’affaire, apporte la preuve écrasante que le procès de Berne ne fut qu’une parodie de justice.

Lorsque, étourdiment, la juiverie machina ce procès, puis le fit tourner à son avantage, elle ne s’imaginait pas que les débats et les investigations entreprises à la suite de ce procès étaleraient au grand jour une documentation si probante qu’il n’est plus possible, aujourd’hui à un homme sensé de soutenir que les Protocoles sont un faux fabriqué par les antijuifs.
Pour la clarté de l’exposé qui va suivre, je présume que le lecteur connaît déjà les « Protocoles des Sages de Sion ».

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ISBN : 9781637907894
Format : Livre de poche
Nombre de pages : 54
Dimensions : 140 x 216 x 3 mm

La Huitième croisade

 Libres révélations d’un officier d’état-major britannique

L’an 1095 vit l’inauguration de la première croisade, qui se termina quatre années plus tard par la prise de Jérusalem en 1099. Au cours des deux cents années qui suivirent, six expéditions « chrétiennes » consécutives abordèrent en Palestine et luttèrent avec des succès variés pour la possession de Jérusalem, finalement abandonnée aux musulmans, quand les derniers croisés firent voile d’Antioche en 1291. 625 années plus tard, Jérusalem fut réoccupée par le corps expéditionnaire sous le commandement du général Allenby. Toutefois, en dépit des succès du début et de la campagne victorieuse d’Allenby, cette dernière invasion de la Palestine n’a pas plus rapporté à la Grande-Bretagne qu’elle ne l’a fait pour les croisés ses prédécesseurs ; mais tandis que ces derniers renoncèrent en raison de leurs campagnes abortives, ayant subi eux-mêmes des échecs sur les champs de bataille, la Grande-Bretagne a dû renoncer aux fruits de sa victoire, parce qu’un gouvernement avide et corrompu les avait hypothéqués entre les mains de ses maîtres payeurs, les Juifs. Les soldats d’Allenby ont par conséquent combattu à leur propre détriment, pour une oligarchie étrangère à laquelle ils avaient été vendus, au bénéfice de laquelle et à l’avantage matériel de laquelle la Grande-Bretagne avait sacrifié l’héritage de l’Empire.

Les motifs qui ont empêché cette huitième croisade trouvent leur origine cent années plus tôt pendant les premières dix années du XIXe siècle, mais comme cela constitue le prélude du dernier chapitre de l’histoire du Sionisme, nous y reviendrons à la fin de nos récits et nous commencerons par le commencement.

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ISBN : 9781648581762
Format : Livre de poche
Nombre de pages : 226
Dimensions : 152 x 229 x 13 mm

François Trocase – L’Autriche juive

L’Autriche contemporaine

Telle qu’elle est : Politique, Économique, Militaire et Sociale

En 1848, l’empereur François-Joseph (1830-1916) monte sur le trône de ses ancêtres. Aussitôt, il abroge les sages mesures éloignant les Juifs des territoires de l’Empire des Habsbourgs, alors le plus florissant d’Europe.
Commence la longue descente aux enfers qui va conduire l’empire austro-hongrois vers la catastrophe finale de la Première guerre mondiale. Sous les dehors d’une aristocratie d’opérette guidée à son insu et grâce au pouvoir corrupteur de l’argent facile vers les plaisirs émollients et le faste dépensier, le nouveau pouvoir financier tire les ficelles et met le pays en coupe réglée.
Jamais le sinistre dicton : « la guerre est la moisson du Juif », ne se manifestera de manière aussi dramatique que durant cette longue période de décadence. L’Autriche perd alors toutes ses batailles (Solferino, Sadowa), ses plus riches provinces (Lombardie, Vénétie) et ses princes-héritiers (Rodolphe et François-Ferdinand) sont éliminés par des mains criminelles dans d’obscures circonstances.
Publié en 1899, l’ouvrage de François Trocase décrit sans fard l’Autriche de la dernière moitié du XIXe siècle sur le plan politique, économique, militaire et social.
Rarement écrivain au monde n’aura vu ses prédictions aussi totalement réalisées.
L’Autriche juive mérite de ce fait une notoriété équivalente à celles des fameux Protocoles des Sages de Sion, sur lesquels il présente l’avantage d’une authenticité qui ne souffre aucune discussion.

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ISBN : 9781648581687
Format : Livre de poche
Nombre de pages : 350
Dimensions : 152 x 229 x 20 mm

Marie-Léon Vial – Le juif roi

Comment le détrôner

Des moyens pratiques d’arriver à l’anéantissement de la puissance juive en France, le danger juif étant considéré au point de vue de la race et non au point de vue religieux ?

Nous avons un instant regretté que la question fut ainsi posée ; car la lutte que le Juif livre au goy est bien, au fond, une lutte religieuse, elle n’est même que cela ; il semblait donc à première vue que c’est sur ce terrain seul que nous devions nous défendre ; mais, réflexion faite, nous nous sommes vite aperçu que ce point de vue est trop élevé pour le peuple matérialisé par la judéo-maçonnerie :
parlez-lui de la religion, il vous écoutera, mais sans faire un pas pour marcher à votre suite : le levier de la foi n’a plus de prise sur sa volonté anémiée ; parlez-lui d’intérêts matériels, au contraire, vous surexcitez tout ce qu’il peut y avoir encore en lui d’énergie.
Or la race juive, en tant que race, est depuis dix-huit siècles, informée en quelque sorte par le Talmud, qui prêche le mensonge et le vol : cette doctrine des pharisiens, transmise de génération en génération et qui, à l’heure actuelle, fait encore le fond de l’enseignement rabbinique dans les séminaires juifs, a infusé à cette RACE des habitudes de vol et de rapine qui se transmettent avec le sang, comme les habitudes chrétiennes se transmettent, dans une large mesure, de génération en génération, avec le sang des parents chrétiens, à leurs enfants.
Or les chrétiens sont victimes des mauvaises habitudes de cette race ; c’est donc sur la question de race qu’il faut convier le peuple à la bataille, la seule sur laquelle il veuille nous suivre, question qui n’exclut pas le point de vue plus élevé de la religion, mais le suppose, au contraire.

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ISBN : 9781648586309
Format : Livre de poche
Nombre de pages : 116
Dimensions : 152 x 229 x 7 mm

Eugène Fayolle – Est-ce que je deviens antisémite ?

Cet ouvrage nous est parvenu anonymement, et son auteur, après s’être fait connaître, nous a priés de respecter son anonymat.
Ce n’est pas qu’il craigne, si cet essai suscite quelques réactions, d’avoir à prendre ses responsabilités et de répondre, visage découvert, à ses contradicteurs, mais il tient beaucoup à ce que sa volonté d’objectivité ne soit suspectée par personne.
N’étant ni homme de lettres, ni homme politique, il souhaite vivement que sa thèse et ses arguments soient jugés et, s’il y a lieu, discutés sans fièvre, en dehors de toute considération étrangère à son dessein. Voilà pourquoi il s’est refusé à jeter le poids de son nom dans le débat.
L’auteur n’affiche pas la prétention de résoudre la question de l’antisémitisme traitée avec pertinence, environ tous les dix ans, par les esprits les plus qualifiés et les plus divers. Il étudie seulement, dans ses origines et ses conséquences, le malaise, purement circonstanciel qui, depuis juin 1936, a réveillé, de‑ci de‑là, cette vieille querelle.
Dreyfusard passionné, comptant de nombreuses amitiés et sympathies juives, homme de raison et de sang‑froid se refusant à croire à la possibilité d’une renaissance d’un mouvement antisémite en France, il a eu la surprise, à l’avènement du premier gouvernement de Front Populaire, de sentir naître en lui une sourde irritation qui l’a insensiblement poussé à modifier son point de vue. Et il a pu constater que son cas était loin d’être isolé. Cette confession scrupuleuse présente ainsi, en marge de son objet, une réelle valeur documentaire. Elle précise et définit la forte responsabilité de M. Léon Blum dans la genèse de cette évolution. Petite cause, grands effets ! La simple façon dont l’ancien Président du Conseil, dans un mouvement d’orgueil au moins maladroit, qui semblait avoir la puérilité d’un défi à l’adresse de l’Allemagne hitlérienne, composa son ministère et son cabinet, a tout naturellement contribué à la formation de ces remous. Beaucoup de Français de religion juive furent d’ailleurs les premiers à déplorer chez un chef de gouvernement une telle attitude, dont ils prévoyaient trop bien que la moindre conséquence serait, à la faveur de la politique, de ranimer les vieilles passions et de rendre pour un temps quelque crédit à l’argumentation et aux griefs des antisémites.
Dans cette savante analyse d’un état d’esprit qu’il ne nous appartient pas de juger, on trouvera donc la peinture d’un curieux moment psychologique de notre histoire contemporaine, susceptible d’inspirer aux uns et aux autres de sages et apaisantes réflexions.
Les Éditeurs.

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ISBN : 9781648583681
Format : Livre de poche
Nombre de pages : 146
Dimensions : 152 x 229 x 9 mm