Claude Nancy





Claude Nancy naquit en 1931 à Bruxelles, où son père était médecin. Citadin, de par son milieu familial direct, il se rend souvent à la campagne chez ses oncles, paysans dans le Hainaut, où il apprend à bien connaître les animaux de la ferme et la nature en général. Ces séjours seront déterminants pour sa vision générale de la vie.
Il entreprit des études de médecine en 1948, complétées par de solides acquisitions en paléontologie humaine et, plus généralement, en anthropologie. Comme son père, il pratiqua la gynécologie et la chirurgie abdominale.
Lors de son service militaire, il fut médecin‑chirurgien dans l’armée belge où il atteignit le grade de commandant.
La sécurité militaire belge, à partir d’une liste de personnes aux états de services anti judéo‑communisme, le sélectionna pour entrer dans un mouvement clandestin au nom de Gladio (glaive en italien). Il s’agissait d’un réseau à l’échelon européen de « stay‑behind », une structure clandestine de l’OTAN, créée après la Seconde Guerre mondiale. Sa fonction était de regrouper des anti‑communistes, les militariser et leur permettre de créer des sections afin « rester derrière » en cas d’invasion soviétique, pour mener une guerre de partisans. Dans cet objectif, des caches d’armes étaient disposées un peu partout. Aussi, ses supérieurs avaient demandé à Claude d’étudier les plantes et leur vertus afin d’être plus autonomes sur le terrain.
De retour dans le civil, il privilégia toujours une pharmacopée basée sur les plantes, ce qui lui valut de sérieux ennuis avec l’Ordre.
Il exerça aussi comme médecin‑instructeur à la Croix‑Rouge.

Éthologue averti, grand admirateur de Konrad Lorenz, Niko Tinbergen, Irenäus Eibl‑Eibesfeldt (avec qui il correspondit), Robert Ardrey ; fort versé en paléontologie humaine et en raciologie et de surcroît anti‑communiste, Claude ne pouvait qu’adopter les idéaux Nationaux‑Socialistes qu’on lui connait. Mais une appréhension du monde, une « Weltanschauung », toute séduisante qu’elle soit, n’est qu’un exercice stérile si elle n’inclut pas une vision politique, une conception optimale de l’organisation des hommes entre eux et des hommes avec la Nature, ceci au sein de la commune, de la province, de la nation, du continent, voire de la grand‑race.
Il est intéressant de savoir ce qui a dicté cet engagement fervent et irréversible. Il l’explique clairement dans ses brochures : « Souvenirs de l’occupation et «Libération» de la Belgique, 1940‑1947 » et « Comment et pourquoi je suis devenu National‑Socialiste. »
Militant dès les années 1960‑70 dans divers organismes dont le Front Nouveau de Belgique, il eut la chance de connaitre de nombreux anciens combattants du front de l’Est parmi lesquels Marc Augier, plus connu sous le pseudonyme de Saint‑Loup et Jacques De Mahieu. Tous deux étaient des cadres issus des écoles de la SS. Leur enseignement idéologique et racial, ainsi que leur parcours guerrier, ne pouvait que réconforter Claude dans sa lutte.
C’est d’ailleurs Marc Augier qui demanda à Claude de travailler à l’écriture de livres. Il était inévitable que, sur ses 10 livres et 18 brochures, il en rédigeât deux considérables que sont « Les races humaines » et « Vers un matérialisme biologique ». Sa dilection pour les chevaux et les loups fut, là aussi, d’un apport précieux dans ses travaux rédactionnels.
Or dans toute son oeuvre, Claude Nancy s’est efforcé, et a réussi, de conjuguer ses considérations sur la nature de l’homme avec le régime politique le plus approprié : le National‑Socialisme.
Claude Nancy aimait écrire et entretenait de nombreuses correspondances en français et en espagnol à travers l’Europe et jusqu’en Amérique du Sud. Il était ainsi devenu un trait d‘union entre différents groupes, différents clans de différentes sensibilité mais tournés vers le même salut. Grâce à lui de nombreuses personnes ont appris à ce connaitre et à travailler ensemble.
Il donnait également des conférences annuelles à l’étranger (Espagne, France, Suisse, etc…). Il en est une, en rapport direct avec ce qui vient d’être dit, qui emporta l’adhésion unanime d’un auditoire entièrement conquis par la pertinence et la justesse de l’exposé. C’était à Lausanne, le 17 octobre 2008 ; il était intitulé, précisément : « Aperçu d’éthologie : justification scientifique de la conception sociale du National‑Socialisme. » Brillante et magistrale démonstration qui ne nous laisse pas le choix : si notre espèce, en particulier sa représentation blanche, veut non seulement survivre, mais vivre en préservant ses lieux d’existence, seul un régime fort, se référant au naturalisme, dépouillé de l’hypocrisie, des illusions crétinisantes, des artifices légaux pseudo‑égalitaires et droit‑de‑l’hommistes d’inspiration judéo‑maçonnique et judéo‑bolchevique, peut la tirer d’affaire.

Ce régime existe, c’est le National‑Socialisme.
Le flambeau a été transmis. À nous d’en maintenir la flamme, symbole de l’enthousiasme militant qui, toujours, anima le Bon Docteur, et d’oeuvrer de la manière la plus appropriée, avec ferveur et opiniâtreté, à l’avènement de la Grande Restauration. Il faudra bien que la chrysalide devienne papillon !

Son honneur fut fidélité