Sixième âge de l’Eglise d’après l’Apocalypse
( C. C. de Saint-André )
Les pages qui suivent n’étaient point destinées tout d’abord à être publiées sitôt.
Faisant partie d’un ouvrage plus considérable, elles ne devaient paraître qu’avec l’ouvrage lui-même à une époque éloignée. Mais comme elles sont remplies des choses tout à fait actuelles, il m’a semblé que leur publication anticipée serait peut-être utile. Plus tard ces pages n’offriraient pas sans doute le même intérêt. À défaut d’autre, elles auront ce mérite de l’actualité qui les fera, j’espère, accueillir avec indulgence par le public.
On pourra contester les interprétations que je donne en général à l’Apocalypse et aux chapitres IX et X en particulier. D’autant mieux que les explications et les preuves n’ont point une évidence aussi convaincante dans un résumé rapide, et que, en plus, elles perdent beaucoup de leur force par leur séparation de l’ensemble de l’ouvrage et par les réticences que cette séparation nécessite. Mais du moins la lecture de ce fragment rendra incontestable ce fait que, à l’heure présente, l’association judaïque qui se nomme « la franc‑maçonnerie » est l’ennemi le plus redoutable de l’Église catholique et le plus grand des dangers pour la société. Il y a donc utilité à la démasquer le plus possible sur tous les points.
La liturgie sacrée proclame que « la Vierge Marie a détruit seule toutes les hérésies dans le monde entier. » C’est encore par Elle, l’Immaculée Mère de Dieu, ayons-en la ferme confiance, que la terre sera délivrée de cette monstrueuse hérésie du sixième âge.
En la fête de Notre-Dame du Saint-Rosaire, 3 octobre 1880.
C. C. de Saint-André
ISBN : 9781637905883
Format : Livre de poche
Nombre de pages : 428
Dimensions : 178 x 254 x 22mm